Description

Pierre Guitton est parti rejoindre ses lapins bleus ou jaunes au cours de ce mois de juillet 2021. Impensable de sortir ce numéro sans le saluer une dernière fois et lui rendre hommage. Du coup, vous trouverez plein de Guitton à l’intérieur, avec de vrais petits points, une interview de Christine Guitton – son épouse – par Violette Guyot, et même de la peinture. De Guitton donc : le dessin ci-dessus, extrait de son chef-d’œuvre : Les contes de Lapin Jaune (1987), édité au Chant des Muses en 2019 ; le premier épisode des aventures d’Hugette et Francine, extrait du premier numéro de Zinc (1971) ; le ziposter de ce numéro qui reprend la couverture de ce même numéro 1 ; quatre autoportraits peints en dernière page… et même – page ci-contre – une planche d’Olivier Soulas en guise d’hommage.

Deux nouveaux artistes dans ce numéro : Lucas Taïeb dans un monologue intérieur : Va lui dire, une BD dont on ne sait si c’est le dessin qui prolonge le texte ou l’inverse, et Nylso avec une petite merveille philosophique et poétique : Un July tout seul dans la Forêt-Noire. Sacrebleu ! quel douceur dans le traité… et quel paysagiste !

Les Révélations de Placid poussent nos nerfs à bout… car enfin, de quoi s’agit-il ? | Le voyage de l’endormi, de François Fléché : un endormi qui m’a tout l’air – avec ses airs de Sainte-Nitouche – de foutre un sacré bazar partout où il passe | Une courte aventure de l’homme bûche de Lourdel | Xavier Dole fait sa prière | Le professeur Hugot continue à nous initier à la botazoologie en nous dévoilant ces merveilles insoupçonnées de la nature que sont Les Végétanimaux | Le Pot-au-feu, deux sacrées pages sacrées par Philippe Gerbaud – qui en profite pour squatter la couverture – et Véronique Emmenegger, poétesse suisse dont la collaboration avec le premier nommé a déjà donné le jour à quelques fameux courts-métrages animés | L.L. de Mars et ses Variations Buster (pour une description détaillée, se reporter au précédent numéro) | In the tube, de Françoise Geslin et Gg | S’il vous plaît Monsieur K, d’où viennent les sardines ? | Pierre Arnau toujours plus profond dans les entrailles du web ; serait-ce sans fond ? | Quatre Têt’Chien de Touïs ; Ah ! la liberté ! | Ailleurs, de Jal : non mais de qui se moque-t-on ? du football dans Zinozorrus !  | David Akemata se la coule moins douce Sur la rivière | Petit-Roulet a le regard pénétrant | Le dessin de Maeva : Strophantus.

Les ancètres : Chez le boucher (±1890) de Howarth | Les Petits Petiots (1905) de Gustave Verbeek |  Le Stimble Inn de George Herriman (1922) Le Thimble Theatre de Segar (1928) traduit par Violette Guyot | L’Adamson d’Oscar Jacobsson (±1920).

Bonne pandémie à tous,

Zorrus

Informations complémentaires

Poids 0,4 kg
Dimensions 22 × 32 × 0,5 cm
Format

22 × 32 cm

Pages

52

Reliure

Piqure métallique