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La guerre et la fascination pour les armes reviennent bien à la mode. Il en faudra surement encore une bonne pour qu’on puisse encore crier C’ÉTAIT LA DERNIÈRE après. Alors crions ensemble mes amis : VIVEMENT LA GUERRE; le plus tôt sera le mieux et on sera débarassé. À moins bien sûr que ce soit vraiment…
La guerre et la fascination pour les armes reviennent bien à la mode. Il en faudra surement encore une bonne pour qu’on puisse encore crier C’ÉTAIT LA DERNIÈRE après. Alors crions ensemble mes amis : VIVEMENT LA GUERRE; le plus tôt sera le mieux et on sera débarassé. À moins bien sûr que ce soit vraiment la dernière et qu’il n’y ait plus personne pour le crier.
Trève de plaisanterie, parlons de choses sérieuses: Gabriel Hibert et ses BD entêtantes n’est pas le seul à rejoindre notre radeau_: Ravachol Giscard et son humour à 14°5 | les dessins d’un jeune garçon matinés par la pugnacité, l’humour et la patience d’un homme d’âge mûr: Dominique Lemoine | Emmanuel Pierre aux dessins achurés comme on les aime et ses grottes craniennes: Sarqueforts | une page de peintures de Zorïn dont je ne dévoilerai pas le passé | un clavier empilé de Guillaume Decock… et pour en finir avec les nouveaux, un que je m’en voudrais de présenter: Caritte avec textes, dessins et BD – le tout marrant.
Le Voyage de l’endormi s’est terminé dans le dernier numéro, bientôt l’album… mais Fléché reste avec nous avec quelques dessins et une courte BD. Les Végétanimaux de Hugot, un épisode d’Huguette et Francine (1973) + un strip de Guitton, un si joli poème graphique de David Akemata, In The Tube de Françoise Geslin et GG, le 8ème épisode d’Ailleurs de JAL. Malgré ses ambitions hautement philosophiques, j’ai bien peur que Monsieur K ne nous soit d’aucun secours pour résoudre cette question pourtant fondamentale: d’où Viennent les Sardines | Violette Guyot interview un de nos fidèles lecteurs: Jean-Hervé Michel | Varé, au dessin étonnament moderne, sévissait dans la BD et le dessin d’humour dans les années 1920-1930; si ça vous plait, je ferai peut-être l’effort de restaurer et ressaisir le texte des épisodes suivant de ce Tour du Ciel d’un Enfant de Paname | O. Galop, auteur 1900 | Pfâgen est toujours à la recherche du talent; en attendant de le trouver il fait la couverture + trois pages de BD | La fin de Masque en Rade, par Véronique Emmenegger et Philippe Gerbaud | Habituellement assez discret, je trouve le sieur Xavier Dole bien omniprésent dans ce numéro: il fait le dessin de l’édito, le ziposter, nous assène une BD de cinq pages – Appartement –, une page de variations, participe par dessins, textes en fransè nouvô et standard au Kouli d’pensé… Ça va bien ?! Heureusement, y participent également par dessins et textes: Violette Guyot, Yvan Polyvan, Caritte ainsi que Colette Parvillez | Eux, deux pages de strips par Zou | À vrai dire, du pur Lucas Taïeb | La suite du Thimble Theatre de Segar (1930) traduit par Violette Guyot | Le Slumberland de Dael… Little Nemo serait-il une fille? | Le Têt’Chien de Touïs me fait toujours rire.
C’est la fin du Adamson de Jacobsson, du moins dans le Zino; ça va faire un vide | Un strip cruel de Nishant Choksi | le Stumble Inn de George Herriman (1921) et la petite énigme finale de Placid: Traces.
Voila mé pti loulouy, plutô rich kom menu, non?
Poids | 0,4 kg |
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Dimensions | 22 × 32 × 0,5 cm |
Format | 22 × 32 cm |
Pages | 64 |
Reliure | Piqure métallique |